La décision devait être rendue ce vendredi 14 novembre, en délibéré. Le tribunal de commerce de Marseille a-t-il validé un plan de continuation avec période d’observation pour la SNCM ? Ou alors l’option ferme de la liquidation judiciaire a-t-elle été privilégiée ? En tout cas, des deux côtés de la rive, entre Corse et continent, les transporteurs tentent de s’adapter à une situation plus que tendue. Dans le même temps, comme le souligne Thomas Pellegrin, directeur du développement de la société SMTRT, beaucoup de sociétés ont appris depuis des années à composer avec les grèves à répétition des employés de la SNCM et donc à leurs conséquences sur les dessertes entre la Corse et Marseille. La SMTRT, basée au Rove (13), expédie en moyenne entre 10 et 20 semi-remorques (matériaux de construction, produits alimentaires secs, articles de bricolage…), chaque jour, vers la Corse (25 % de son activité). L’entreprise pilotée par Jean-Claude Pellegrin fait « tourner » environ une trentaine de véhicules sur l’Île
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?