Dans son jugement du 15 décembre dernier, la 7e chambre du tribunal de commerce de Pontoise pointait déjà du doigt ce qui est devenu une réalité : « il ressort, à l’évidence, que cet actionnaire majoritaire (Ndlr, Arcole Industries) ne semble pas croire au plan de redressement de la société MoryGlobal ». Jean-Louis Demeulenaere, le président de MoryGlobal, était venu à la barre demander aux juges la mainlevée sur une mesure d’inaliénabilité (sur deux ans) qui frappait d’anciens actifs de Mory Ducros. En clair, le dirigeant demandait l’autorisation de vendre d’anciens immeubles Mory Ducros pour une valeur de 25 M€. Une enveloppe indispensable pour assurer la survie d’une société en proie à de sévères tensions sur sa
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