Les volumes des deux derniers mois ont vu un mieux par rapport à la période hivernale, particulièrement morne. C’est l’effet du printemps qui joue, chaque année, sur le secteur du bâtiment, mais nous nous attendions à un peu moins, compte tenu du trimestre précédent. Nous ressentons surtout ce frisson sur nos transports de carrelage. Reste que nous travaillons toujours au jour le jour. Nous descendons des céréales – les volumes se maintiennent – vers le Sud-Est où nous rechargeons des métaux à haute valeur ajoutée pour l’Italie. Ce qui demeurait une niche de marché il y a encore quelques années ne l’est plus désormais. Nous avons abandonné beaucoup de trafics à des confrères qui les confient à des sous-traitants des pays de l’Est pour des prix de misère au final. Résultat, nous sommes à ce jour à – 15 % par rapport à la même période de l’an dernier. Sachant que nous avons sorti trois véhicules de notre parc et renoncé à remplacer les conducteurs qui partaient à la retraite. Une diversification des activités paraît impossible : la demande de stockage est inexistante de la part des industries locales existantes. Et la faiblesse
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