Nous évoluons sur des secteurs (l’automobile, la grande distribution, le bâtiment) qui, pour les deux premiers surtout, offrent des niveaux d’activité intéressants depuis quelques mois.. Avec ce mois de mai qui comporte autant de semaines de quatre jours, nous faisons le nécessaire pour mettre en place des solutions adaptées à nos moyens. Le marché est moins souple qu’à une certaine époque. Il devient vite sous-capacitaire quand l’activité redémarre. Depuis plusieurs semaines, on peut parler de frémissement, même si le bâtiment tire vers le bas. On le sent dans les volumes mais également dans nos contacts avec les clients. Il faut souligner que nous surfons sur un prix du gazole qui reste « sage ». Le moral des chargeurs ? Je ne sais pas s’ils ont profité d’un effet d’aubaine au moment de la déflation de fin d’année. En tout cas, ils ont déclenché énormément d’appels d’offres.
On avait portant prévenu que les volumes de fin d’année ne seraient pas représentatifs de la réalité de la conjoncture. Avec la disparition de l’écotaxe, on pensait que les budgets transport auraient davantage de souplesse, qu’il y aurait moins de ten
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