Christian Rose : Il s’agit tout d’abord de faire la démonstration qu’il ne faut pas tout attendre de l’Etat en matière de lutte contre le réchauffement climatique ; les entreprises ont également à faire preuve de volontarisme pour réduire l’impact environnemental de leurs activités. L’AUTF est dans son rôle en impulsant le mouvement, fédérant et structurant une démarche dont l’objectif est à la fois environnemental et économique. Nous y travaillons depuis 2 ans avec l’ADEME. Le soutien de l’ANIA et de l’IUC explique la prédominance d’industriels de l’agroalimentaire et de la chimie parmi les primosignataires qui vont tester les outils. Un gros travail de promotion sera, ensuite, à mener auprès des sociétés de moindre taille. Objectif : 1 000 signataires en 2020.
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?