Spécialisés dans la distribution de produits pharmaceutiques et cosmétiques en Ile-de-France, nous attendons la livraison des quatre VUL Iveco au GNV que nous destinons à Paris intra-muros. Entre les laboratoires, hôpitaux, pharmacies et parfumeries, nous approvisionnons quotidiennement 350 points dans la capitale. Le GNV, nous y allons un peu à reculons car la rentabilité, nous le savons, ne sera pas là : les clients ne suivent pas pour ce qui concerne les tarifs. Or, le coût des matériels est 30 % plus élevé que pour les diesels. Rien de comparable, toutefois, avec l’électrique où il faut multiplier le prix du véhicule par quatre pour une charge utile et une autonomie moindres. Les économies de gazole attendues ne rentabiliseront pas davantage l’investissement ; la facture carburant, dans Paris intra-muros, reste dans une fourchette de 180 à 200 € par mois. Avec le GNV, un plein devrait nous permettre de tenir deux jours à Paris. Et nous avons une pompe dans la commune limitrophe de Champigny. Au plan fiscal, nous ne payons pas la carte grise. C’est d’ailleurs le seul avantage. Nous avons frappé en vain à la porte de l’ADEME. Les aides de la Vi
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