Bruno Berthier : Nous en sommes toujours au même point. Je suis déçu mais pas surpris. Depuis le début, les politiques et les transporteurs se moquent de nous. Nous sommes assimilés aux transporteurs dans le statut (contraintes horaires, délais de livraison, etc…) alors que nous effectuons une prestation. Les routiers ne veulent rien changer car ils profitent un maximum de la situation. Quand les moto-guideurs sont apparus en 2011, tout le monde s’est inquiété pour le fonctionnement mais tout se passe très bien. Nous ne voulons pas nous mettre à dos les transporteurs mais la réalité, c’est que nous sommes plutôt à leur merci… Ils font ce qu’ils veulent alors qu’avant, les forces de l’ordre savaient imposer leurs règles.
B. B. : Actuellement, le code NAF nous rattache aux servic
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