Dilemme et embarras dans le transport léger

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Quand le terme « ubérisation » se répand dans une profession, ce n’est pas bon signe ! Les acteurs professionnels du transport léger sont confrontés à ce phénomène qui a chamboulé le métier et l’économie des taxis. Dans leur ligne de mire : l’expansion de nouveaux opérateurs, qui ont pour nom GoGo RunRun, Deliveroo ou TokTok Tok (allez consulter leur site internet, ils sont révélateurs). Utilisant des applis de partage de véhicules, ils investissent le marché de la livraison aux particuliers et celui de la course, en faisant appel à des auto-entrepreneurs, des étudiants ou des chômeurs. Selon le Syndicat national des transports légers (SNTL), aiguillonné par ses adhérents, des pratiques « particulières » se développent hors cadre réglementaire et recensement au registre des transporteurs. C’est une nouvelle concurrence, jugée déloyale, en plus de celle venimeuse des transporteurs venus de l’Est qui, au volant de leurs utilitaires légers, ramassent du fret aux abords des dépôts et grands magasins. « Sous couvert de transport écologique, on laisse faire de nouveaux acteurs en dehors de toute contrainte légale et administrative »,

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