La reconquête de la compétitivité, la régulation européenne, l’attractivité des métiers, la transition énergétique et l’adaptation à l’économie numérique. Ce sont les cinq chantiers structurants auxquels la FNTR, réunie en congrès les 4 et 5 novembre, a choisi de s’atteler. Car, dit-elle, « l’avenir est moins menaçant quand on l’anticipe ».
Le premier — la compétitivité du pavillon français — passe par la visibilité et la stabilité fiscale, pose son président, Jean-Christophe Pic. Ainsi, l’augmentation de 4 cts de la fiscalité sur le carburant au 1er janvier 2015 « vaut pour solde de tout compte de l’écotaxe ». Autrement dit, la FNTR n’entend céder ni sur une remise en cause du gazole professionnel, ni sur un rattrapage entre la fiscalité gazole et essence, ni sur un éventuel retour de l’écotaxe sous une forme région
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