Spécialisés dans le frigo, nous travaillons sur la moitié Est de la France et nous avons un accord commercial avec un autre transporteur pour couvrir la moitié Ouest. Les volumes sont restés stables par rapport à l’année dernière, nous n’avons pas observé de progrès significatifs. Traditionnellement, dans l’agroalimentaire, l’activité est toujours plus conséquente au second semestre qu’au premier. Cette hausse habituelle de volumes est due aux préparations de fêtes de fin d’année qui portent le secteur du surgelé. Nous n’avons pas augmenté nos prix par rapport à l’année dernière. Suite à des appels d’offres, nous avons même dû baisser légèrement nos tarifs afin de conserver nos clients. Nous en avons néanmoins quand même perdu quelques uns. Mais cette tendance semble générale dans le transport. La baisse du prix du gazole s’est avérée transparente, c’est d’ailleurs l’objectif de la répercussion qui vise à prendre en compte la variation du coût du carburant entre la date du contrat et la date de réalisation du transport. Nous sommes très peu d’acteurs en France à faire du groupage et de la distribution de produits surg
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