En traction, nous travaillons avec tous les grands noms de la messagerie. Cette activité offre l’avantage d’être régulière et donc sécurisante. Sauf en cas de suppression de lignes ou d’appels d’offres. Lesquels tendent à se multiplier depuis quatre ans. Chaque année, nous avons à en connaître deux ou trois, et majeurs puisqu’ils concernent 40 % de notre chiffre d’affaires. Nous avons perdu des marchés, au départ de la région parisienne vers le Sud-Ouest, au profit de transporteurs espagnols. Nous ne sommes plus consultés sur les doublages de lignes. Ces concurrents, qui roulent en double équipage, pratiquent des prix de 20 % inférieurs aux nôtres. En distribution et transport de lots, le problème des volumes prévaut sur celui des tarifs. Depuis la fin septembre, les flux fluctuent grandement : trop un jour, pas assez le lendemain ! Pour les vins et spiritueux, l’activité n’a vraiment démarré qu’à la mi-novembre alors que d’habitude, nous ressentons des frémissements dès la mi-octobre et que ce devrait être le plein boom à l’heure actuelle. Et quels seront les effets des événements du 13 novembre sur les « achats-plaisir »
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