Réuni le 27 novembre à Paris, le conseil d’administration du CNR n’a pas arrêté son budget 2016. Malgré la nécessité de compenser la baisse de la dotation de l’État (L’OT 2809), les solutions pour diversifier les ressources financières du CNR, qui emploie neuf salariés, se font attendre. « La subvention de la DGITM, en baisse de 9 %, nous obligerait à supprimer des études européennes, souligne Yves Fargues, président du CNR. Or nous avons signé une convention avec le ministère des Transports pour assurer la production, pendant deux ans, d’un certain nombre d’entre elles. Nous devons donc trouver de nouveaux financements. » Il ne fait pas mystère qu’il y a débat au sein du conseil. « Deux pistes sont étudiées pour déterminer sous quelle forme la profession peut participer. Je dois rendre mes conclusions lors du prochain conseil d’administration, programmé à la fin mars 2016. » En clair, les membres du CNR planchent sur la faisabilité des pistes principales, fiscales ou commerciales, à la faveur d’un budget qui n’est pas rendu public. « C’est logique vu les enjeux, on ne veut pas se tromper », assure l’un des administrat
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