Nicolas Paulissen : En terme d’activité, il semblerait que la croissance soit un peu plus soutenue qu’en 2015, sauf accident économique majeur, en Chine par exemple. Il convient de prendre en compte également le risque géopolitique, principalement les tensions actuelles entre l’Iran et l’Arabie Saoudite et celles au Moyen-Orient. Le risque existerait, en cas de durcissement, de nouvelles tensions sur le prix du pétrole.
N. P. : Je pense qu’on devrait bénéficier d’un sursaut en matière d’activité, même si beaucoup d’entreprises continuent de se plaindre du manque de visibilité. Je crois que nous sommes sur des perspectives plus positives qu’en 2015, malgré la mauvaise conjoncture qui sévit dans le bâtiment.
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?