Les salariés de Callejo Transports peuvent respirer. En tout cas, les 157 (sur 233) qui sont repris. Terminée la période d’incertitude liée à la disparition rocambolesque de leurs dirigeants (Carine et Jonathan Sicart) au printemps 2015 qui avait valu à leur entreprise de se placer sous la protection de l’administration judiciaire. Terminées également, les conditions quotidiennes de travail tendues. C’est dorénavant avec la patte de velours de Valérie Jimenez que les anciens de chez Callejo vont composer. La dirigeante de la société éponyme et son mari, François, ont repris Callejo à la barre du tribunal de commerce de Toulouse, le 1er décembre dernier. La première mesure prise par la dirigeante de Jimenez FVA a été d’organiser un repas avec les équipes des deux sociétés entre Noël et le Nouvel An, à Lespinasse (31), siège de Callejo. « Mi-janvier, c’est Lespinasse qui est venu chez nous
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