Jean-Marie Maurizi : Dès le départ, nous nous sommes opposés à sa candidature pour la raison que l’entrepreneur qu’il est allait se retrouver en situation de monopole, que son intention, à travers cette opération, était de récupérer encore d’autres parts de marché. Je n’ai personnellement rien contre l’individu. C’est un compatriote et un transporteur que je respecte. Mais, dès lors que le tribunal de commerce de Marseille l’a eu retenu, je me suis rangé derrière cette décision de justice.
J. M. M. : Je serais de mauvaise foi d’affirmer qu’on a confié cette société à cet homme-là sans garanties. Nous, les transporteurs corses, avons tenu récemment une réunion avec lui. Il s’est exprimé en tant qu’armateur et s’est engagé en tant que patron de l’ex-SNCM. Son discours est passé.
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