Boomerang recrute au « starter »

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Grâce au contrat « starter », Romain Sissia, patron de Boomerang (69), a bénéficié d’une aide de l’État pour embaucher un jeune en difficulté d’insertion mais volontaire. « Bonne pioche », assure le transporteur.

Lancé en mars 2015, le contrat « starter », destiné à faciliter les embauches de jeunes en difficulté d’insertion, semble susciter l’intérêt des employeurs : l’objectif de 13 000 contrats signés a été atteint fin 2015. Ciblant les moins de 30 ans rencontrant des obstacles sociaux ou professionnels à leur insertion, ce contrat aidé vise les jeunes résidant dans un quartier classé « prioritaire de la politique de la ville », bénéficiant du RSA, chômeurs de longue durée, handicapés, suivis dans le cadre d’un dispositif « 2e chance » ou ayant bénéficié d’un contrat d’avenir dans le secteur non marchand. Mais contrairement à ce dernier, le contrat « starter » ne concerne pas uniquement les bas niveaux de qualification.

Volontariat

En octobre dernier, Romain Sissia, président de la PME de transport Boomerang basée à Saint-Priest dans le Rhône, a signé un tel contrat avec Ismaë

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