Gilles Mathelié-Guinlet : Nous sommes déjà à peu près certains que, sur une période de six mois, il n’y aura aucune activité de transport céréalier sur les 18 départements concernés*. Cela va de l’approvisionnement des usines de transformation du grain jusqu’au bout de la chaîne, c’est-à-dire le transport des produits finis ou celui des animaux. En clair, l’activité va devoir se mettre en veille pendant six mois.
G. M.-G. : Un très grand nombre de PME implantées dans les 18 départements vont se retrouver avec une activité nulle. Cette situation est brutale. Nous n’avons eu aucune information ni de la part du ministère des Transports ni de celle du ministère de l’Agriculture. Nous avons sollicité ces deux ministères pour les alerter sur le fait que la filière agricole n’était pas la seule concernée par cette mise en veille, que le monde du transport l’était également.
G. M.-G. : Qu’elles nous fassent bénéficier du plan d’aides q
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