L’Association des régions françaises (ARF) va connaître une nouvelle séquence dans son histoire en 2016. Depuis le 1er janvier, son ADN se retrouve modifié par l’impact de la réforme territoriale. Cette structure, présidée depuis 2004 par le socialiste Alain Rousset, fédère désormais treize régions au lieu de vingt-deux. Député de la Gironde élu en décembre à la tête de la grande région Aquitaine-Poitou-Charentes-Limousin, Alain Rousset avait annoncé qu’il ne briguerait pas un nouveau mandat. Pour l’heure, Philippe Richert (Les Républicains) est le seul candidat officiellement déclaré à la présidence de l’ARF, qui doit revenir à la droite après les élections régionales de décembre. Il est à la tête du conseil régional d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine (ACAL) depuis le 4 janvier. L’élection à la tête de l’ARF doit avoir lieu
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