Le torchon brûle entre patron et salariés au sein des Transports Gallego, entreprise dont le siège est basé à Anaïs (16). Selon le journal La Charente Libre, ces derniers reprochent à leur dirigeant, Serge Waeffler, de ne pas respecter la législation en matière de sécurité (pneus lisses, licences de transport non renouvelées) ni les délais de versement des salaires. Les salariés assurent que l’effectif de la société se monte à 13 personnes ; le dirigeant, lui, n’en compte que six en raison des ruptures conventionnelles. Il accuse ses employés – auxquels il propose de rejoindre une deuxième entité au Havre – de vouloir liquider la société pour obtenir des indemnités, selon La Charente Libre. « Ils sabotent eux-mêmes leur outil de travail », affirme le patron qui reconnaît des retards dans les salaires. L’entreprise, en difficulté, sous-traite pour « un gros transporteur ».
Le bilan du dispositif rendant obligatoire, pour les prestataires de transport, l’information sur la quantité d’oxyde de carbone émise par leurs véhicules à leurs clients révèle que seuls 40 % des transporteurs de marchandise
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