Nous essayons de préserver nos parts de marché en 2016. Sur le transport régional et la logistique (15 000 m2 dédié à l’entreposage), notre volume d’activité est bon. Nos concurrents ont les mêmes structures de prix de transport que nous. La concurrence est donc saine. En revanche, à l’international, la situation est moins évidente. Les trafics France/Grande-Bretagne ont tendance à se maintenir. Toutefois, les retours sont de plus en plus compliqués. Si la situation ne s’améliore pas, on va finir par refuser d’acheminer du fret à l’aller. D’un côté, la Grande-Bretagne est en phase de croissance économique. De l’autre, le cours de la livre s’est apprécié par rapport à l’euro. Il n’en demeure pas moins vrai que la taxe kilométrique anglaise, en vigueur depuis avril 2015, est un dispositif simple qui fonctionne bien. La taxe équivaut à 1 000 livres par véhicule et par an. Les donneurs d’ordre l’ont bien compris. Commercialement, elle a grevé l’augmentation des prix de transport que nous aurions pu passer. Actuellement, nous sommes touchés, comme nos collègues à Calais, par la problématique migratoire (tentatives d’intrusion
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