Depuis sa création à l’été 2012, ses dirigeants martèlent que la vocation de l’Alliance n’est pas de se substituer aux organisations professionnelles que sont la FNTR, l’OTRE, l’Union TLF et l’Unostra. Que les groupements qui s’y sont rassemblés n’ont pour seule préoccupation que de « faire du business ». Depuis des mois également, en catimini le plus souvent, les dirigeants de l’Alliance professionnelle du transport routier — on a pu le vérifier tout au long du dossier écotaxe — remettent en question l’efficacité et les limites de la voie du dialogue avec les pouvoirs publics français et Bruxelles empruntée par les fédérations. « Car on a continué de nous tondre la laine sur le dos », glisse l’un des participants à la réunion
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