L’activité benne TP est restée soutenue au premier trimestre. Nous avons enregistré une stabilité des volumes pour les marchandises bâchées. Nous travaillons depuis 50 ans avec Gefco pour l’acheminement des pièces détachées mais nous ne sommes plus son sous-traitant exclusif. En tendance, notre plus gros souci reste le prix de référence de la prestation transport qui est devenu un tarif roumain. C’est la raison pour laquelle nous nous diversifions dans l’alimentaire notamment. Je raisonne davantage en filière poids lourd qu’en mode transport à proprement parler. J’ai ouvert un nouveau site à Héricourt en Haute-Saône en septembre 2015 (garage Iveco et Vulco). Sur le même site nous disposons, depuis mars dernier, d’un nouvel entrepôt logistique de 2 000 m2 qui nous permet d’effectuer les chargements et les déchargements de nos véhicules. La superficie prévue initialement était de 7 000 m2 mais j’ai préféré privilégier les petits clients pour des flux entrants et sortants. Pour l’heure, je me demande si notre profession va gagner le combat à Bruxelles. On constate un réel désaveu du secrétaire d’Etat chargé des Transports, Alain
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