PATRICK TROULAY : La principale raison tient au fait que nous voulions participer à un projet qui cherche à expérimenter d’autres formes de mobilité plus respectueuses de l’environnement. L’ATMB est installée au pied du Mont-Blanc. Quoi de plus naturel que de vouloir préserver de tels territoires ! En outre, il est piloté par six transporteurs locaux. Cette initiative haut-savoyarde nous a également semblé de nature à tisser une autre relation avec ces clients du réseau. Nous avons été séduits par leur esprit pragmatique — mesurer, quantifier, comparer — et leur envie d’agir. Car c’est aussi l’occasion de sortir du débat sur la place du trafic routier dans la vallée de Chamonix pour entrer dans l’action.
P. T. : Outre une participation pécuniaire qui sera amenée à évoluer selon les besoins de financement, ce partenariat repose sur le partage de nos propres outils, de nos réseau
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