Le gouvernement veut « clarifier le débat »

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L’exécutif entame un bras de fer avec les syndicats CGT et FO. Il ne souhaite pas retirer la loi El Khomri mais ne peut condamner le secteur du TRM à être l’otage d’une minorité agissante.

« Il n’y aura ni retrait du texte, ni remise en cause de son article 2 », a assuré le Premier ministre, Manuel Valls, le 25 mai. Cet article de la loi El Khomri concentre à lui seul une partie importante des mécontentements parce qu’il prévoit « une inversion de la hiérarchie des normes. » S’il était adopté en l’état, le texte consacrerait une ère nouvelle : l’accord d’entreprise peut-être « moins disant » que l’accord de la branche d’activité. Après une semaine de grèves et de blocages, le gouvernement a diligenté le secrétaire d’État chargé des Transports, Alain Vidalies. Lequel s’est fendu d’un courrier à l’ensemble des organisations syndicales du transport daté du 20 mai. Le ministre y affirme que toutes les mesures nécessaires seront prises pour que la loi Travail ne vienne pas modifier le dispositif réglementaire dérogatoire appliqué en matière de rémunération des heures de travail des

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