La facture des blocages sera salée

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Deux semaines après les premiers mouvements sociaux, à l’initiative de deux syndicats de conducteurs routiers, le secteur des transports commence à évaluer l’ampleur des préjudices économiques. Notamment dans les places portuaires. Les organisations professionnelles alertent les pouvoirs publics : les pertes seront significatives.

Mercredi 1er juin. Malgré l’arrêt total ou partiel de 6 des 8 raffineries françaises, l’approvisionnement en carburant continue de s’améliorer, note l’Union française des industries pétrolières. Ceci grâce au déploiement d’importants efforts logistiques par les opérateurs mais aussi à l’augmentation des importations. Sur l’ensemble du territoire, la situation reste contrastée. Comme sur les ports du Havre (76), de Fos-sur-Mer (13) ou au terminal pétrolier de Donges (44). Si le port normand continue de subir, plus que d’autres, les conséquences des blocages sur des sites stratégiques ou des grèves de la CGT Chimie, ailleurs, les tensions se sont quelque peu relâchées. En attendant le 2 juin et le nouveau mode d’ordre de grève national lancé par la CGT mais également Force ouv

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