Depuis le début de l’année, les flux de produits cosmétiques se maintiennent bien. En tendance, les volumes progressent de + 5 %. Les produits pour la coiffure sont plus stables et les volumes se contractent. En revanche, la livraison de produits pharmaceutiques est en plein chamboulement en raison d’une part du déremboursement des médicaments, de la baisse des prix, et d’autre part du durcissement de la réglementation européenne en matière de température dirigée. Les laboratoires pharmaceutiques doivent se positionner pour savoir comment l’appliquer, ce qui implique de redéfinir des plans de transport. Au plan macro-économique, les chargeurs privilégient davantage la qualité de la prestation. Ils souhaitent être rassurés. Le prix n’est pas le seul et unique critère. À ce jour, nous disposons de quatre véhicules utilitaires légers Iveco au GNV que nous destinons à Paris intra-muros. Le retour sur investissement n’est pas là avec le GNV. Le coût des matériels est 30 % plus élevé que pour le gazole. Avec un baril de pétrole à 50 dollars, le GNV n’est pas attractif. Si le baril dépasse les 100 dollars, le GNV redevient intéressant. Je sui
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?