Postures pénibles, manutentions manuelles de charges, agents chimiques dangereux, vibrations mécaniques, températures extrêmes et bruit. L’entrée en vigueur imminente (1er juillet) de ces facteurs de pénibilité a donné lieu à la publication d’une instruction ministérielle*.
Le document explique notamment comment évaluer la pénibilité des travailleurs dans trois cas de figure : si un accord collectif de branche étendu concernant la prévention de la pénibilité a été négocié ; si un référentiel de branche a été mis en place ou s’il n’existe ni accord collectif de branche, ni référentiel professionnel homologué.
Les organisations patronales du secteur avaient bien prévu de plancher sur un référentiel de branche, mais « les travaux paritaires sur la question ne sont pas ouverts pour le moment, précise Jean-Marc Rivera, secrétaire général adjoint de l’OTRE. D’autant que ce système apparaît comme peu adapté à une
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