« Un contrôle radiologique à chaque rupture de charge »

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L’OT : Comment est organisé en France le transport de combustibles nucléaires usés destinés à l’entreposage ou au recyclage ?

BERNARD MONOT : On compte, chaque année, 200 transports pour évacuer les 1 200 tonnes de combustibles usés déchargés des réacteurs. Ces transports s’effectuent depuis les sites des centrales nucléaires EDF vers l’usine de traitement d’AREVA La Hague. Ils sont transportés principalement par voie ferrée depuis les centrales nucléaires jusqu’à un terminal ferroviaire spécifique, situé à Valognes. À l’arrivée sur le terminal ferroviaire, ils sont transbordés sur des camions, lesquels effectuent 40 km pour rejoindre l’usine de La Hague.

La sûreté/sécurité du transport de combustibles nucléaires est draconienne ? Quelle est votre politique en la matière ?

B. M. : La sûreté du transport repose sur le colis, qui désigne l’ensemble constitué par l’emballage et son contenu. La conception du colis obéit à des critères stricts de sûreté, fixés par l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique (AEIA) et dont l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN), en France, garantit l’application. Nommées SSR-6,

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