Je trouve que la conjoncture se porte très bien dans notre environnement. Notre activité est sur un cycle haut, celle de nos concurrents également. Psychologiquement, c’est motivant car on se dit que s’il y a de la demande c’est que l’économie connaît une embellie certaine. Pour l’heure, nous sommes également engagés dans l’absorption de la société (Callejo rebaptisée FVC Jimenez, Ndlr) que nous avons achetée au début de l’année. Il s’agit, pour nous, de croiser les compétences entre nos deux entreprises. Au bilan du mois de mars, nous avons augmenté notre chiffre d’affaires de 16 % pour FVA. Si on cumule les deux sociétés, cela représente une augmentation de 45 %. Ces bonnes performances sont à mettre au crédit d’une augmentation du carnet de commandes de nos clients. Ils nous ont demandé davantage de prestations et le commercial a fait le reste. Seul on va vite mais ensemble on va plus loin. Nous entrons dans une période pré-électorale. Je pense que, comme à chaque fois, l’activité économique va se mettre au ralenti. Au chapitre des prix, la situation reste un peu compliquée car il y a toujours des concurrents qui acceptent une
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