Les épisodes de pollution qui ont touché récemment (et qui sévissent encore) les grandes agglomérations françaises et la Vallée de l’Arve (Haute-Savoie) n’ont, « bien entendu » pas épargné les transporteurs en transit, à quelques exceptions près (les frigoristes, les véhicules utilitaires légers et les transports urgents), sous le coup d’interdictions de circuler. « Encore une fois les transporteurs ont été les boucs émissaires de la Ville de Paris, déclare Yann Viguié, secrétaire général de l’OTRE Ile-de-France. Cela est d’autant plus fâcheux que l’on sait que ces interdictions n’ont pas d’impact sur le niveau des particules, étant entendu, par ailleurs, que les transporteurs ont consenti de gros efforts ces dernières années pour réduire leurs émissions ». À Paris, il est vrai qu’en dépit des interdictions de circuler pour les véhicules en transit et de la mise en place de la circulation alternée pendant 4 jours, le nuage de pollution n’a pas
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