Thierry Grumiaux : La blockchain permet la transmission mais surtout la sécurisation des données. Les entreprises détiennent des informations qui définissent les habitudes de consommation, les flux marchandises ou encore les prix. Pour l’avenir du TRM, il est primordial que les entreprises puissent rester maîtres de leurs données internes et de celles qui leur sont confiées par leurs clients. Elles ne peuvent être disponibles publiquement et, surtout, commercialisées à leurs dépens. Dans le cadre du transport international, par exemple, des informations passent entre les mains d’une trentaine d’intervenants. La blockchain permet de créer un registre digital unique sécurisé. À chaque étape, des données peuvent être ajoutées et l’intégrité est garantie. Pour les autorités, qui doivent valider l’information présentée, ces données transmises s’avèrent ainsi assurément à jour
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