L’entreprise a opéré un changement de périmètre géographique d’activité depuis le début de l’année. Nous sommes désormais présents à Caen, Orléans, Lyon et Marseille afin de répondre aux besoins de la clientèle. C’est ainsi que De Rijke Méditerranée, à Rognac (13), a été racheté au début avril. Nous avons été dynamiques mais en terme de volumes, le premier trimestre a été plutôt difficile. Est-ce à cause des élections ? On dit souvent que c’est une période qui ralentit l’activité, sans doute un épiphénomène comme les différents ponts. Je constate aujourd’hui un frémissement. Nous transportons en majorité des produits non conditionnés, 20 % de matières dangereuses et 30 % non dangereuses. Nous sommes sur un créneau porteur avec un produit en plein essor. J’essaie de développer de plus en plus l’activité citerne, mieux valorisée par les clients, notamment, et qui nécessite un vrai savoir-faire. Je me concentre moins sur l’activité « tautliner », très concurrencée par les transporteurs étrangers.
L’apparition des plateformes d’appel d’offres rebat les cartes. Les donneurs d’ordre n’hésitent plus à y f
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