Les organisations professionnelles expriment des inquiétudes

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« En voulant essayer de satisfaire tout le monde, la Commission européenne prend le risque, au final, de ne contenter personne », soutient la FNTR. Elle-même — et plus encore l’OTRE — pointe les dangers qu’elle entrevoit dans les propositions bruxelloises.

L’OTRE se dit, certes, soulagée que le transport routier ne soit pas exclu de l’application de la directive « détachement ». La FNTR, elle, reconnaît des avancées concernant la lutte contre les sociétés boîtes aux lettres, la reconnaissance de la professionnalisation du secteur du transport léger et l’utilisation des documents électroniques. Reste que c’est avec méfiance, pour ne pas dire plus, que les deux organisations professionnelles accueillent certaines des propositions sociales de la Commission européenne. Toutes deux dénoncent tout particulièrement celle qui vise à rendre illimité le nombre d’opérations de cabotage sur 5 jours. Une disposition qualifiée « d’inacceptable » par l’OTRE dans la mesure où « elle donne un blanc-seing au pavillon de l’Est pour venir attaquer encore plus fortement le marché intérieur français », affir

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