Le Conseil, qui s’est réuni le 9 novembre, a pour mission de travailler sur une loi de programmation des infrastructures dans le cadre de la loi d’orientation des mobilités prévue pour le 1er semestre 2018. Ses conclusions sont attendues pour la mi-décembre. Sa feuille de route est claire et Élisabeth Borne l’a rappelé lors de son audition devant la commission élargie sur le budget 2018, à l’Assemblée nationale, le 31 octobre dernier. La régénération du réseau existant est prioritaire. L’État sera extrêmement vigilant sur les investissements en infrastructures : pas de nouvelles autoroutes ni de nouvelles lignes ferroviaires si on peut gagner en efficacité en modernisant l’existant. Et le fluvial doit aussi être modernisé. Ce qui n’a pas empêché l’Afra (Association françaises du rail), de rappeler les atouts du ferroviaire pour l’environnement et l’emploi, lors de sa rencontre avec Philippe Dur
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