Sur le podium européen au début des années 2000. Sur la cinquième marche en 2016. L’activité du pavillon français du TRM, mesurée en tonnes kilomètres, a payé un lourd tribut à la crise économique et financière de 2008-2009, ainsi qu’à la montée en puissance de l’étendard polonais (qui talonne celui de l’Allemagne) sur les routes du Vieux Continent. Avec son 8 % de parts de marché en Europe, le pavillon français se situe donc (en 2016) au 5e rang des flottes continentales, derrière l’Allemagne, la Pologne, l’Espagne et le Royaume-Uni. « L’activité du premier pavillon européen est 2 fois plus élevée que celle du pavillon français », observent les auteurs de l’étude
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