Vingt minutes. Trop juste pour explorer le vaste sujet de la digitalisation et des véhicules autonomes. Et pourtant, les transporteurs ont pu exprimer quelques vérités qui les ont trouvés bien unanimes, malgré leurs prises de parole en décalé. Première évidence : s’il y a une chose qui déplaît aux transporteurs c’est bien le mélange des genres. Première illustration, la levée de boucliers spontanée contre les plates-formes d’intermédiation, commissionnaires déguisés ou pas, dictant leur loi aux transporteurs. « Le Big Data est un danger car les données sont à nous ! », ou plus explicite : « Shippeo va tout savoir sur nous ! » et encore : « ça casse la relation commerciale », « il y a un risque de faire encore baisser les prix du transport ». L’entrée massive dans la sphère du « service » de la part de constructeurs et manufacturiers n’est pas mieux perçue : « On ne vous a pas attendus pour fai
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