Valoriser le métier de conducteur

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Comment attirer de nouvelles vocations dans un secteur en mal d’image ? Les transporteurs ont fait un état des lieux de leur situation et donné des pistes pour tenter d’attirer les vocations.

Rémunérations moins élevées, manque de valorisation et contraintes accrues. Pour les transporteurs du Club de l’OT, le métier, synonyme de liberté dans les années 70, a perdu du prestige. « On a chargé la mule », estime un chef d’entreprise. Ainsi, note-t-il, les responsabilités du conducteur se sont accrues : il transporte 150 000 € de marchandises, ainsi que 150 000 € de matériel, il doit suivre des réglementations inhérentes aux divers métiers, comme la traçabilité pour le froid. Des tâches qui ne devraient pas leur revenir, comme la manutention, se multiplient. « Toutes ces diverses prestations ne sont pas payées, regrette un autre transporteur. Tout part dans le cahier des charges et le chauffeur en subit les conséquences. Nous avons tout accepté de la part des clients, particulièrement ces dix dernières années. Or, le tarif de 2005 n’est plus adapté. Il faudrait donc que le transporteur fasse valoir ses

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