Patrick Galtier, président du centre de formation des apprentis du Sud-Aveyron et pdg des transports Galtier (12)

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« Il faut ouvrir les portes des entreprises »
L’officiel des transporteurs : l’apprentissage engendre souvent une plus grande fidélité des conducteurs. La formule semble donc attractive en cette période de pénurie. Fait-elle recette en Aveyron ?

PATRICK GALTIER : Les chauffeurs issus de notre CFA restent dans 80 % des cas dans les entreprises où ils ont été formés. Je rencontre parfois des transporteurs qui peinent à recruter mais qui ne forment pas. La cotisation formation à 1 % participe à l’apprentissage mais ne fait pas tout. Parfois, les entreprises se demandent quelles tâches elles pourront confier à un apprenti qui ne peut pas encore conduire. Mais elles trouvent toujours très rapidement : diriger des transpalettes, changer les pneus, laver les camions… Et, lorsque l’apprenti entre en période de formation à l’école et manque finalement à l’entreprise, la mission est réussie.

Côté entreprises, comment l’apprentissage dans le transport pourrait-il apparaître plus attractif ?

P. G. : Un apprenti ne coûte pas cher pour l’entreprise. En revanche, plusieurs contraintes réglementaires apparaisse

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