Vers un pschitt des tournées « Shitfs » ?

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Des livreurs et des chauffeurs employés par des plateformes dénoncent leurs statuts. Les entreprises de transports légers sont exaspérées par la concurrence de ces nouveaux entrants. Auxquels les Urssaf tentent de faire payer des cotisations sociales. Voici le tableau des batailles générées par la nouvelle économie « collaborative », que l’État se contente d’observer pour le moment.

La qualification des coursiers ou autres livreurs des plateformes dites « collaboratives » reste en débat, comme en témoigne cette information Mediapart révélant qu’un procès-verbal de l’inspection du travail vient d’être transmis au parquet de Paris afin d’accorder le statut de « salarié » aux livreurs de Deliveroo. En effet, les collaborateurs des plateformes de transport de personnes ou de colis ne cessent de dénoncer leurs conditions de travail.

Des décisions de justice disparates

À ce jour, les premières affaires opposant les plateformes et leurs employés, qui ont été portées en justice, se sont soldées par un rejet de la qualification de salarié à ces nouveaux travailleurs. Ainsi, l’affaire des coursiers Tok Tok Tok, débou

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