Quelle réglementation appliquer lors d’un trajet multimodal ?

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À condition de le préciser dans le document de transport maritime ou aérien, la règle ADR 1.1.4.2.1 autorise de ne pas répondre entièrement à l’ADR lors d’un transport multimodal avec pré et/ou post acheminement routier. Un cas particulier parmi d’autres qui suppose de maîtriser plusieurs réglementations « matières dangereuses » lors d’un trajet multimodal.

Qu’il soit terrestre, maritime ou aérien, chaque mode dispose d’un code pour le transport de marchandises classées dangereuses : ADR pour la route, RID en ferroviaire, ADN pour la voie d’eau, IMDG pour le maritime et IATA – DGR en aérien. « Ces codes reposent sur une base commune d’obligations issue des recommandations ONU mais quelques différences existent. Elles concernent l’emballage, la documentation, le marquage/ étiquetage ou le placardage et la signalisation », rappelle Sébastien Mitton de Form-Edit, animateur d’une conférence le 21 mars lors du SITL. Comme l’IMDG, les codes terrestres, dont l’ADR, sont en outre actualisés tous les 2 ans, tandis que le code IATA-DGR impose un examen de contrôle des connaissances avec recyclage tous les deux ans.

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