Pour les supérettes des villes qui se sont multipliées depuis quelques années, la solution est relativement simple : un 19 t ou un 26 t et une place de stationnement réservée pour une livraison autour de 7 h du matin avec un employé du magasin qui réceptionne et commence la mise en rayon. En attendant les camions électriques, les poids lourds et les gros utilitaires au gaz sont une solution tout à fait acceptable qui de plus commence à convaincre les édiles municipaux. De plus, les groupes réfrigérants réellement silencieux existent. Le problème se corse avec les petites quantités à livrer aux petits magasins, le point critique étant la livraison à domicile qui devient très à la mode sous l’influence du e-commerce.
François Libner avait surpris
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