De l’avis de tous, opérateurs, commissionnaires, entreprises ferroviaires, et transporteurs, les cheminots doivent cesser la grève le plus vite possible. Alors que le mouvement entame sa 3e période, les professionnels du transport craignent déjà de graves conséquences économiques si le conflit perdure pendant les 3 mois annoncés. Sur les deux premiers jours, les 3 et 4 avril — les plus suivis — 80 % des trafics ferroviaires n’ont pu circuler. L’anticipation sur les journées de grève ne peut pas toujours être assurée en raison d’une désorganisation des services à tous les niveaux. En premier lieu, dans les entreprises ferroviaires. « Les trains se trouvent disséminés sur tout le territoire car ils effectuent généralement de longs parcours. Le problème avec ces grèves par intermittence, c’est que les opérateurs sont obligés de faire garer les trains assez à l’a
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