Loi Avenir professionnel

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Via la loi Avenir professionnel, le gouvernement entend développer la voie de l’apprentissage et donner plus de poids à la formation professionnelle. Des directions majoritairement bénéfiques pour le secteur mais qui risquent de s’avérer insuffisantes pour attirer davantage de candidats, ont estimé les transporteurs au cours du Club de l’OT.

Alors que le secteur du transport et de la logistique recherche près de 32 000 collaborateurs, la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel pourrait-elle aider les transporteurs à dénicher davantage de candidats et à fidéliser leurs salariés ? Le développement de l’apprentissage, avec des mesures incitatives pour les entreprises et pour les jeunes, semble prendre cette direction. La plupart des transporteurs présents au Club de l’OT apprécient cette voie de formation qui permet d’accompagner davantage les jeunes dans l’entreprise et de mieux les fidéliser. Si la formule séduit, elle reste toutefois limitée car, comme pour toutes les autres sources de recrutement, les vocations pour le secteur ne se bousculent pas. « On ne trouve pas davantage de chauffeurs par la vo

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