Pas de quartier pour la fraude fiscale et sciale

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Après le « droit à l’erreur », le Parlement vient de renforcer le » droit à sanction ». Ainsi, la loi 2018-898 du 23 octobre 2018 relative à la lutte contre la fraude prévoit un élargissement des échanges d’informations entre différents organismes (fiscaux, sociaux et douaniers), ainsi qu’un alourdissement des sanctions.
Échanges d’informations

La fraude en matière sociale et fiscale sera davantage tracée car les divers organismes de contrôle vont pouvoir échanger des informations. Ainsi, les agents habilités de l’inspection du travail, des Urssaf (ou CGSS dans les DOM), CPAM, CAF, caisses d’assurance retraite (Cnav) et caisses de mutualité sociale agricole (MSA) auront directement accès à certaines informations contenues dans les fichiers de l’administration fiscale. De la même manière, les agents des douanes et les assistants spécialisés, détachés ou mis à disposition des juridictions judiciaires par l’administration fiscale ou des douanes, pourront accéder à certaines données de la direction générale des finances publiques. Ces agents des douanes auront également la possibilité de communiquer plus largement

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