Nous avons perdu la gestion du financement de la formation professionnelle qui a été reprise par l’État, donc aujourd’hui la question est de savoir ce que l’on fait pour les différentes branches qui composent l’Opco », a déclaré Jean-Louis Vincent, président de l’Opco mobilités lors de son intervention à la table ronde, qui avait pour titre : « Préparer la branche Transport routier aux évolutions : Comment se réformer pour s’adapter aux nouvelles attentes et aux nouveaux enjeux ? ». En fait, le débat portait essentiellement sur le rôle des opérateurs de compétences dits « Opco » qui remplacent les organismes paritaires collecteurs agréés, auparavant appelés « Opca » depuis le 1er janvier 2019 (voir encadré). Jean-Louis Vincent a rappelé que l’Opco mobilités s’intégrait dans une logique globale de mobilité. « Nous vivons une forte mutation. Nous devons convaincre le monde des entreprises que la réforme est bonne pour le développement économique. Il faut casser les silos intellectuels », a affirmé Claude Tarlet, président de la Fédération française de la sécurité privée, qui participait au débat : « Les entr
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