La mondialisation et la logistique des flux tendus en question

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Apparu en décembre sur le marché de Wuhan, ville continentale au bord du Yangzi Jiang, qui en 2018 concentrait à elle seule 1,2 % des marchandises en tonnage de toute la Chine, le coronavirus ne cesse de faire des victimes. Un mois après la célébration du Nouvel An chinois, les mesures de confinement demeurent, les usines restent partiellement fermées et les chargeurs et autres importateurs font état d’un point de rupture à compter du printemps. La Chine, qui reste l’usine du monde, menace ainsi la planète de pénurie. Le virus pèse déjà lourd sur l’économie mondiale.

L’épidémie de coronavirus déclarée en janvier a totalement grippé la chaîne d’approvisionnement mondiale et jeté un froid sur la consommation chinoise. En quelques années seulement, la Chine est devenue le rouage essentiel de la chaîne de valeur puisqu’elle fabrique des produits finis ou semi-finis, des composants (électronique, automobile, aéronautique). Le cas de l’équipementier français Valeo, qui compte à lui seul 36 usines en Chine et 800 fournisseurs locaux, illustre cette dépendance à l’empire du Milieu. Free, Orange, Maisons du Monde, les jeans

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