L’étude prospective publiée le 21 mars dernier par l’OPECST avait été commandée par la commission du développement durable et de l’aménagement du territoire, ainsi que la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale, dans l’objectif d’analyser la manière dont la France pourrait atteindre ses objectifs de réduction des émissions à l’horizon 2040.
Les rapporteurs ont élaboré trois scénarios technologiques : médian, pro-batterie et pro-hydrogène, fondés sur des hypothèses communes sur le mix électrique (46 % nucléaire et 50 % ENR en 2035), une taxe carbone à 100 euros par tonne en 2030 et 141 euros par tonne en 2040, et une augmentation continue des prix des véhicules thermiques.
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