Comment Londres et Stockholm ont instauré leurs modes de péage

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La sénatrice Fabienne Keller, rapporteure spéciale chargée du budget du transport terrestre, a présenté les exemples de péages routiers mis en place à Stockholm et Londres. À mettre en exergue alors que le projet français doit être voté dans le cadre de la future loi sur les mobilités (LOM).

Plutôt que de « péage urbain », Fabienne Keller préfère parler de « tarif de congestion » ou de « charges de congestion », voire même de « contribution à la qualité de l’air », car l’idée est « d’internaliser les externalités négatives ». Pour avancer sur le sujet, la sénatrice du Bas-Rhin a présenté en conférence de presse, le 18 octobre, un rapport sur une étude conduite par la direction générale du Trésor, qui a consisté à observer comment les métropoles étrangères ont agi pour réduire la pollution et les embouteillages en ville. Dans les exemples retenus, ceux de Londres et Stockholm, c’est un système de lecture optique des plaques d’immatriculation qui a été choisi, avec des caméras placées sur des bornes aux abords des zones concernées. D’autres systèmes existent, et la possibilité de

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