NICOLAS LEMEUNIER : Les problématiques ne sont pas les mêmes selon que l’on s’intéresse aux PME ou aux groupes. Si je me focalise sur les besoins des PME voire des ETI, qui ont recours à des affréteurs ou à des transporteurs affréteurs, je me pose la question – et les clients également – de savoir ce que j’ai à y gagner sachant qu’aujourd’hui, bien souvent, la prestation de l’affréteur est un peu pauvre si l’on considère qu’on affrète, sur du spot, un transporteur que l’on ne connaît pas souvent, ce qui n’apporte pas grand-chose au client en termes de service. Les nouveaux services d’intermédiation sont parfois plus intéressants…
N. L. : Je pense à tous ces avantages liés aux côtés pratique et immédiat de la prestation. Comme c’est le cas avec Uber, je pense que les clients ne vont pas chercher un prix mais plutôt une commodité. Je pense que la profession
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