Coût au km parcouru, temps d’immobilisation, complexité accrue des véhicules : tels sont les principaux paramètres que doivent maîtriser les transporteurs qui font le choix d’un atelier intégré. Où les constructeurs, de plus en plus agressifs dans leur politique commerciale pourraient carrément s’inviter. Par ailleurs, la nouvelle directive européenne sur le contrôle technique vient complexifier la tâche des centres agréés.
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